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Un Drôle De Blog !

  • : Ras la toque !
  • : Billets d'humeur sur le bien manger, le bien recevoir et le bien vivre.
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Et Moi, Et Moi, Et Moi...

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  • Un zeste d'humour, pour épicer la sauce... et partager coups de coeur et coups de gueule, en toute convivialité !
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29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 06:17

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Pas si simple… ce passé que nous nous « plûmes » à conjuguer :

 

  • Cet été, mon voisin musulman, à la Mecque alla.

 

  • Tout jeune, Merlin enchanteur devint.

 

  • Déçu par le sourire de la Joconde, Léonard de Vinci sermonna Lisa

 

  • Bien qu’il fût troué, ce pull-over vous mîtes.

 

  • C’est en pelant une pomme qu’Adam et Eve se plurent.

 

  • Vous avez mis à la casse votre vieille voiture allemande ? Vous souvient-il qu'un jour vous me la passâtes ?

 

  • Sacrés Grecs, être en défaut de paiement, vous faillîtes !

 

  • Pour les prochaines vacances, l'idée d'aller en Arabie Saoudite, ils émirent.

 

  • La bière une fois brassée, les moines la burent
  • Guerres de religion : contre Calvin certains protestants luttèrent.

 

 

(à suivre…)

 

Petitgrognon

 

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 08:54

alicaments-f.durand-sipa.jpg

                                                                                                                             © photo F.Durand /SIPA

 

 

« Paroles, paroles… » Ça suffit, on veut des preuves !

C’est en gros ce que vient d’affirmer, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) devant les promesses de « y’a bon pour la santé » figurant sur les étiquettes de plus de 2000 produits alimentaires. Et de les rejeter, faute de preuves scientifiques.

Sacré courage de s’opposer ainsi aux lobbies du marketing des grands groupes de l’industrie alimentaire. Car ceux-ci s’étaient engouffrés depuis des années sur un créneau lucratif pour mieux vendre leurs produits, en nous faisant croire qu’ils allaient améliorer notre santé.

Fini donc les « renforce le système immunitaire », fini les « bon pour le transit », fini les « fait baisser le cholestérol »…inscrits sur les emballages, comme sur une ordonnance ! On ne sera plus trompés sur la marchandise, par des allégations mensongères, sauf bien sûr si des preuves scientifiques sont apportées.

L’étude menée pendant trois ans a ainsi révélé que plus de 80 % des étiquettes alimentaires de denrées commercialisées en Europe étaient trompeuses et mensongères !

Déjà fin 2010, Gerblé avait été condamné en appel pour avoir commercialisé des barres chocolatées censées stimuler la mémoire, alors que cela ne reposait sur aucune base scientifique vérifiable.

Certains sentant le vent venir, ont pris les devants. Ainsi Danone a renoncé à sa publicité pour le yaourt à boire Actimel, qui prétendait « renforcer l’organisme » grâce à un ferment lactique exclusif. Désormais elle affirme seulement « que bien manger, c’est d’abord se faire plaisir ».

Ont-ils enfin compris que le premier plaisir du consommateur est avant tout qu’on ne se moque pas de lui ?

 

Petitgrognon

 

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 08:21

Wil-Cormier-.jpg

 

 

La cuisine française : un chef d’œuvre en péril ?

C’est ce qu’affirme un critique gastronomique américain : Michael Steinberger, dans un livre qui porte ce titre provocateur.

S’agit-il d’un nouvel assaut de « french bashing », ce dénigrement des Français (1) dont sont friands les Américains ?

Jugez-en. D’après lui, la cuisine française mollement appuyée sur ses lauriers, serait devenue paresseuse et moins créative. La preuve : au classement international San Pellegrino 2010 des meilleurs restaurants du monde, le premier chef français, Inaski Aizpitarte n’arrive qu’en neuvième position, avec son restaurant parisien Le Chateaubriand (2). Derrière des Danois, Anglais, Espagnols…et un Américain.

OK « old guy », mais tous les gastronomes n’ont pas la chance de faire le tour du monde pour vérifier la valeur de ce classement. Alors what else ?...

Autres preuves, dit-il, les Français passent deux fois moins de temps à table qu’il y a vingt cinq ans…ils  boivent deux fois moins de vin… et les Françaises désertent leurs fourneaux domestiques. Autre présage de cette mort annoncée : la pasteurisation menace nos grands crus de camembert. Et puis, la fréquentation des restaurants est en baisse. Pire, la France est devenu le deuxième pays au monde le plus rentable pour McDonald’s…

Bon, allez, cher cousin d’Amérique, nous acceptons vos critiques comme un cri d’amour et d’alerte pour notre gastronomie. Qui aime bien châtie bien !

De notre côté, c’est juré, on ne se permettra pas de critiquer vos burgers, nuggets bien gras, pop tarts gorgées de sucre et muffins bourratifs. Quant au beurre de cacahuète dont vous tartinez vos PB&G (3), on ignore  s’il est pasteurisé.

Mais croyez bien qu’en dehors des grandes tables internationales, on continue d’apprécier les recettes gourmandes de nos auberges du terroir…même si elles n’ont pas le charme de vos motels d’Arizona.

 

Littlegrognon

 

(1) Ils nous traitent volontiers de « cheese eating surrender monkeys » (« singes capitulards mangeurs de fromage ») depuis un célèbre épisode des Simpsons datant de 1995 ; expression réutilisée par la presse américaine lors de notre refus de participer à la guerre en Irak en 2003.

(2)Restaurant Le Chateaubriand – 129, avenue Parmentier - 75011 PARIS

(3) Peanut Butter and Gelly sandwich

 

© illustration Wil Cormier

 

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 09:39

parigi.jpg

 

Il pleut en cet après midi de juillet.

La rue Saint-Honoré nous …honore d’une averse orageuse.

C’est donc chaussures mouillées et parapluies ruisselants que l’on se risque à s’engouffrer au n° 239, à l’Hôtel Costes, sous le regard soupçonneux des voituriers physionomistes. Las, ils n’ont pas reconnus sous nos traits humides une des célébrités « peoplissimes» habituées à franchir ce porche…

Peu importe, première victoire, ils ne nous ont pas refoulés !

Nous progressons dans le couloir d’entrée aux boiseries acajou, où les effluves d’un parfum acidulé et entêtant  nous décourageraient presque de poursuivre.

La double porte d’accès au lieu hyper…hype une fois franchie, c’est notre look du jour et notre bonne mine qui doivent convaincre les hôtesses d’accueil qu’une table peut exceptionnellement se trouver libre pour nous installer.

Ouf, deuxième victoire : casting réussi puisqu’une jeune serveuse mini moulée dans son fourreau noir nous pilote pour traverser le décor Napoléon III, imaginé par Jacques Garcia.

Troisième victoire : nous déclinons l’offre de nous installer en terrasse, où les stores blancs ruissellent sous la pluie, transformant le patio intérieur en aquarium pour poissons fortunés. Nous nous réfugierons finalement dans un boudoir douillet aux fauteuils de velours rouge. Idéal pour déguster dans cette ambiance rétro-lounge, notre café bien mérité.

Bon, il nous en coûtera 6 euros. Mais, pour le prix on aura droit au  ballet incessant des serveuses calibrées qui se dandinent sur les miaous miaous de la musique d’ambiance…

 

Petitgrognon

 

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 09:14

coporateimage

 

C’est bien la peine d’être le pays réputé pour ses 365 variétés de fromage, et se priver de ce délicieux mets, à cause de la  formule punitive : « fromage ou dessert».

Et bien, moi, je veux les deux !

Bon d’accord, au resto, le prix est parfois un peu exagéré. Surtout, pour un morceau tranché avec parcimonie, surtout si vous voulez en goûter deux ou trois…

Mais chez soi, on peut se rattraper. Quel plaisir de déguster un fromage traditionnel ou original, qui vous titillera les papilles, avant de passer au sucré.

Le plateau idéal proposera trois variétés :

- une pâte pressée au lait de vache, cuite : comté, beaufort. Ou non cuite : cantal,  reblochon.

- un fromage de chèvre ou de brebis, comme l’excellent A.O.C. Ossau-Iraty.

- une pâte persillée, soit au lait de brebis : roquefort, soit au lait de vache : fourme d’Ambert ou  bleu des Causses.

Et pourquoi pas ajouter une traditionnelle « pâte molle » au lait de vache, comme le camembert, le brie ou le munster ?

A choisir en fonction de la saison, sur les conseils de votre fromager.

Pour augmenter le plaisir de la dégustation, on tentera l’association fromage/confiture.

Un classique : confiture de cerises noires, avec une tome de brebis. Mais pourquoi pas : confiture d’abricot et comté.

Qu’en dîtes-vous ?... Cette leçon vaut bien un fromage ?

 

PetitGrognon

 

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 09:07

coccinelle-copie-1.jpg

 

Haro sur le bio !

C’est vrai qu’il dérange. En concurrençant les procédés de production agricole intensive avec leur cortège d’additifs, depuis les antibiotiques jusqu’aux pesticides, c’est toute  l’industrie « agro chimique » qu’il dénonce.

Alors on l’accuse de bien des maux. Non pas sur la base de preuves scientifiques qui remettraient en cause la qualité des produits bios ! Trop difficile  à démontrer …

Plus subtil : en déniant l’effet supposé sur la santé.

« Manger « bio » n’est pas meilleur pour la santé.» Et toc ! C’est ce qu’affirmait, il y a quelque temps déjà, le journal Le Figaro. De quoi ridiculiser les adeptes du bio, prêts à payer un peu plus cher pour ne pas se ruiner… la santé !

Tout ça, parce que des « chercheurs » faisant la compil d’une centaine d’articles scientifiques publiés depuis 2003, ont « trouvé » que les « faibles différences observées ne confèrent pas aux aliments « bio » un avantage nutritionnel ou sanitaire significatif ».

Néanmoins, ces « chercheurs » (1) reconnaissent qu’« on retrouve logiquement moins de pesticides dans les produits bio »…et même que « la réduction dans les cultures bio des intrants chimiques (engrais, produits phytosanitaires), favorise la production par la plante de substances antioxydantes bénéfiques pour la santé ». Ah quand même !

A quand des études aussi peu scientifiques, qui démontreront que les amateurs de produits bio, même s’ils ne sont pas en meilleure santé que les autres, font « naturellement » le choix de la saveur, de la qualité, du respect de l’environnement, et qui plus est, en se faisant plaisir.

Mais ceci n’est pas mesurable !

 

Petitgrognon

 

(1) Léon Guéguen et Gérard Pascal, chercheurs honoraires à l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique)

 

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 07:11

concierge.jpg

 

Nostalgie des temps anciens… Mais où sont donc les concierges d’antan ?

Celles qui veillaient - tapies au fond de leurs loges - au bien être et à la sécurité des résidents. Tout en les sermonnant au passage s’ils venaient à manquer aux règles d’usage…non écrites.

Rebaptisées « gardiennes d’immeuble », leurs qualités sont certes appréciées, mais il leur manque aujourd’hui le pittoresque et la gouaille qui caractérisaient les fameuses « binoches ».

Point de boites aux lettres. Elles montaient elles-mêmes le courrier à chaque étage profitant de ce rituel quotidien pour faire une petite causette et s’enquérir des nouvelles des expéditeurs des missives, joliment timbrées de l’autre bout du monde.

D’un œil soupçonneux, elles repéraient les visiteurs étrangers à l’immeuble s’inquiétant du motif de leur incursion chez tel ou tel voisin. Aujourd’hui les digicodes manquent singulièrement de poésie…

En des temps encore plus reculés, c’est elles qui officiaient à l’ouverture de la porte d’entrée, grâce à un « cordon » qui pendait près de leur lit. Il fallait, même en pleine nuit, décliner son identité en criant fort son nom, en les interpellant d’un sonore : « Cordon, si’où plaît ! »…

Tout le monde était alors au courant de vos pérégrinations noctambulesques.

Mettant un point d’honneur à ce que carrelages et escaliers en bois soient impeccables, leur inséparable « compagnon du devoir » était leur balai. Indispensable appui pour alimenter les commérages du jour - de vraies piplettes que je vous dis - rien ne leur échappait. Pour plus de détails, une petite pièce leur déliait facilement la langue.

En fin d’année, pour la traditionnelle remise des étrennes, chaque locataire se demandait s’il serait dans la moyenne de générosité, histoire de rester dans leurs  « petits papiers».

Dans beaucoup d’entrées d’immeubles anciens, désormais vides et banalisées, on peut toujours repérer l’emplacement de la loge, parfois recyclée en local à vélos ou à poussettes. Mais il y flotte encore cette atmosphère du temps jadis…« Atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? »

 

Petitgrognon

 

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 07:01

melon.jpg

 

-         Pourtant il avait la peau lisse !...

-         Oui, mais lui as tu reniflé le pédoncule ?

-         Bien sûr, en plus je l’ai choisi bien ferme et lourd…

La discussion peut continuer comme cela longtemps. N’empêche que votre melon, il n’a pas de goût. Et que vous êtes encore une fois déçu(e).

Comment faire alors pour choisir à coup sûr un bon melon mûr, sucré et savoureux ? Surtout que c’est la pleine saison et qu’ils ont dû se gorger de soleil !

Les conseils avisés ne manquent pourtant pas.

Allons voir du côté des spécialistes, comme le Syndicat des maîtres melonniers de Cavaillon (*). Leurs recommandations sont simples :

Un bon melon doit avoir dix tranches bien marquées d’une rainure vert foncé. Le « pécou », c'est-à-dire la petite queue, doit être prête à se décoller, signe d’un mûrissement à point. Autour de ce pécou doit se dégager la fameuse bonne odeur. Inutile donc de lui renifler le mamelon de l’autre côté. Et, bien entendu, le soupeser pour apprécier son poids de sucre… et de saveur !

Partant de là, on ne devrait donc pas se tromper de beaucoup.

Moi, j’ai un autre truc infaillible pour se régaler. Une fois coupé en deux et ses pépins ôtés, j’incise la chair orangée de petites fentes et je le remplis de porto.

Si, si vous verrez. Les saveurs mélangées du melon et du porto sont un délice, même si le melon n’était pas au top.

En plus après l’avoir dégusté, je ne sais pas pourquoi, mais on se sent tout euphorique… Ça doit être le soleil… !

 

Petitgrognon

 

(*)  http://www.melondecavaillon.com/index.php

 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 07:46

poivre madagascar

 

 

Sans tomber dans l’exotisme à tout prix, nos plats traditionnels méritent parfois un bon petit coup de fouet.

Faisons simple : le poivre, ou plutôt les poivres.

Bien sûr, on préfèrera, pour l’arôme, le poivre en grains à moudre en moulin, au poivre classique vendu en poudre.

Mais lequel choisir ? Ca dépend des plats préparés.

Pour éviter les petits « picots » noirs du poivre classique, dans un beurre blanc ou sur des volailles : le poivre blanc, en rehaussera le goût avec douceur.

Et le poivre noir ? Plus corsé. Pour Olivier Roellinger (*), le meilleur c’est le Malabar MG1,  originaire d’Inde. Ancêtre de tous les poivres, grande finesse, boisé, fruité, long en bouche.

Ras la toque du noir et blanc ? Optez pour le classique gris. Ou pour d’autres couleurs.

Le poivre vert, de préférence frais ou conservé dans une saumure, est idéal pour les sauces accompagnant le steak du même nom. Egalement sur des poissons : après l’avoir fait mariner toute une nuit dans du vin blanc, on l’ajoute à une sauce crème.

Très décoratives, les baies roses sont peu piquantes et légèrement sucrées, voire anisées. Elles vont réveiller un carpaccio, ou parfumer, avec bonheur, un foie gras poêlé ou des noix de Saint-Jacques. Et pourquoi pas sur une salade de fruits ? Mais ne nous y trompons pas : malgré leur goût poivré, ce n’est pas du poivre ! C’est le fruit d’un arbre qui pousse en Amérique du Sud et à la Réunion. D’où leur surnom d’« or rose de la Réunion » ou de « faux poivre rose ».

 

…Faudra que je parle de tout ça à  Poivre d’Arvor… !

 

PetitGrognon

 

 (*) Chef cuisinier breton à Cancale, créateur de poudres d’épices

www.epices-roellinger.com

 

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 09:48

concombre.jpg

 

Pauvre cucurbitacée ! Il revient de loin…

Ach… ! Vous pensez aux Allemands qui l’ont injustement accusé d’être porteur d’une bactérie mortelle ??...

Mais, vous n’y êtes pas. Il revient de loin parce qu’il est né en Inde. Il a même été cultivé sur les bords du Nil par les Egyptiens qui l’offraient en offrande à leurs dieux. Il était très apprécié aussi des Grecs et des Romains qui le faisaient pousser sous cloche.

En France, c’est ce sacré Charlemagne qui en a ordonné la culture dans ses domaines. Jusqu’à Louis XIV qui en était très friand et consommait les concombres poussés sous serre à Versailles.

Un légume emblématique donc, qui a très tôt été reconnu pour son goût et ses vertus. Il calme vite la faim sans faire grossir car il est constitué à 95 % d’eau. Chou-chou des régimes minceur, il est pauvre en calories (10 kcal pour 100 g), mais riche en calcium, potassium et magnésium.

Alors pourquoi s’en priver ? Surtout qu’on peut le déguster de diverses façons.

C’est vrai que beaucoup de consommateurs, récemment affolés par les médias, ont…cru que c’était… cuit pour le concombre.

Cru ou cuit, on l’apprécie toujours avec plaisir.

 

Petitgrognon

 

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