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Un Drôle De Blog !

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  • Un zeste d'humour, pour épicer la sauce... et partager coups de coeur et coups de gueule, en toute convivialité !
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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 08:55

park hyatt

 

Encore émerveillés par toutes les richesses (inaccessibles...), exposées dans les vitrines de la place Vendôme, on ne pas quand même pas se contenter d’un « écrin » quelconque, pour prolonger le plaisir de notre balade.

A parier que derrière les superbes façades des immeubles qui bordent la rue de la Paix, se cachent des endroits pleins de charme, où déguster notre boisson préférée !

Osons donc franchir le seuil du Park Hyatt.

On remarque à peine que c’est un palace, si ce n’est par la somptueuse porte cochère  encadrée de deux sculptures contemporaines effilées.

Un long couloir. Une magnifique salle de restaurant au décor d’orchidées blanches. Un bar lounge, lui aussi orné de sculptures contemporaines et un salon, partagé en deux espaces par une immense cheminée moderne. Il ouvre sur un patio intérieur, calme et de bon goût. Le service est attentionné. Le cadre exceptionnel.

Toute l’architecture intérieure est un subtil « cocktail » de classique et de  moderne.

Comme cocktail… on s’en contentera pour la vue et on choisira plutôt une boisson chaude, dont le coût ne nous refroidira pas trop… (entre 4 et 8 euros).

 

Petitgrognon

 

Hôtel Park Hyatt- 5, rue de la Paix - Paris 2ème

 

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 08:43

lutetia

 

Ras la toque d’avaler un expresso au comptoir, dans une ambiance bruyante, peu propice à un moment de détente bien mérité ?

Poursuivons notre tour d’horizon des endroits d’exception, où confort et décor somptueux ne sont pas forcément synonymes de prix inabordables.

Après une tournée shopping harassante au Bon Marché tout proche, l’Hotel Lutétia vous ouvre ses fauteuils douillets, dans le superbe décor « art déco » de son grand salon.

Ici encore, service attentionné et ambiance cosy rappellent que l’on est dans un palace.

Pourquoi laisserait-on ce plaisir aux seuls touristes, toujours bien informés, alors qu’il ne vous en coûtera que 5 euros pour déguster votre café…et encore, après avoir choisi son origine sur la carte.

Encore mieux que chez Nespresso !!

 

Petitgrognon

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 09:59

cafe-de-la-paix-.jpg

Un décor de rêve pour un express à 5 euros !

C’est ce que propose le salon du Grand Hôtel à Paris, plus connu sous le nom de Café de la Paix, face à l’Opéra.

Bien sûr il faut dénicher cet endroit d’exception, abrité sous une magnifique verrière, au centre même de l’établissement.

Pour cela, en entrant vous demandez le bar. Il ouvre en effet sur ce salon grandiose.

Et là, surprise : fauteuils énormes, douce musique d’ambiance, quotidiens à disposition, café apporté avec la traditionnelle carafe d’eau, …un service de palace tout simplement !

Au Café de la Paix (le bien nommé), vous vous offrez moment de détente loin des bruits de la ville, pour seulement 5 euros….Alors que le moindre express, dans le quartier vous reviendra, au moins, à 3 euros.

Vous n’en revenez pas ?

Je parie que vous y …reviendrez !

 

Petitgrognon

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24 septembre 2010 5 24 /09 /septembre /2010 09:21

terrasse-le-georges.jpg

 

Aujourd’hui, on prend de la hauteur.

Au sixième niveau du Centre Pompidou, le Georges nous attend, pour y prendre notre café « with view ». La vue est en effet splendide sur les toits de Paris, depuis ce belvédère implanté au cœur de la capitale.

« Et là bas, c’est quoi ? » entend-on, environ toutes les quarante cinq secondes.

De gauche à droite et de droite à gauche, c’est à qui devinera quels monuments se cachent sous leurs dômes et quelles églises se blottissent sous leurs clochers.

Mais tout ça, c’est bon pour les touristes… On remarque vite qu’une partie de la clientèle se la joue blasée, plus attentive aux virevoltes des serveuses en mini. Faut dire qu’on est chez Costes (et oui encore…, décidément, ils ont squatté les plus beaux endroits de Paris, pour y installer leurs terrasses.)

Heureusement que le panorama extérieur justifie le prix de l’addition, car ce n’est pas le service boudeur et peu empressé qui nous séduit ! Quant au décor qui se veut contemporain, en résonance avec les tubulures de l’architecture pompidolienne, il nous laisse …froid. Les roses rouges (…fanées !) sur les tables ne parviennent pas à réchauffer le gris alu.

Mais les 60 000 œuvres d’art moderne nous attendent aux niveaux inférieurs. De quoi nous inciter à prendre un pass permanent ... sans forcément revenir s’attabler au Georges…

 

Petitgrognon

 

Une petite faim ? Une bonne adresse de resto à Paris ?

Petitgrognon vous recommande :

www.lesdelicesdevanessa.com/

 

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 19:08

 

TERRASSE NEMROD

 

Dimanche matin.

On remonte la rue du Cherche Midi, le panier chargé de victuailles et le caddy rempli de fruits et légumes.

A croire qu’on a dévalisé les étals du marché qui se tient à quelques pas, Boulevard Raspail…au pied de l’Hôtel Lutétia !

Et oui, ma chère. C’est très « tendance » de venir, parfois de très loin, s’approvisionner dans ce quartier.

La raison ? Excellente : c’est un des rares marchés bio de Paris.

Des dizaines de marchands et producteurs bios de la région parisienne, viennent y proposer leurs produits frais, mais aussi des plats préparés comme ces délicieuses galettes de pomme de terre. Une jolie crémière détaille, avec le sourire, ses excellents fromages. Quant à l’unique poissonnier, il est dévalisé dès les premières heures de la matinée.

On a bien mérité, après avoir slalomé entre les chalands, une petite pause café.

Le Nemrod, au coin de la rue Saint Placide, nous attend, avec sa terrasse ensoleillée.

Le café nous revient à 2,85 euros. D’autres clients nous rejoindront bientôt pour un brunch, servi tous les dimanches et affiché à 24 euros.

En semaine, cette agréable brasserie doit sa réputation à ses nombreuses spécialités auvergnates.

Mais, on n’a pas le temps de s’attarder. La corvée de pluches nous attend !

 

 Petitgrognon

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 08:34

 

LE RALPH'S (c) angeli

 

So chic !

Déjà, la façade de ce superbe hôtel particulier, boulevard Saint Germain, au 173, ne  nous laisse pas indifférents. Datant de la fin du XVIIè siècle, il a été magnifiquement restauré. Les stores bleus, aux fenêtres du premier étage, sont comme un clin d’œil, pour nous inviter à pénétrer dans cet antre du luxe et du bon goût américains.

La visite commence, ponctuée de commentaires admiratifs.

Un ascenseur grillagé, à l’ancienne, ceinturé d’un escalier de marbre majestueux nous emmène au 3ème étage de la boutique, qui s’étend sur quatre niveaux.

 

Décor somptueux et feutré, pour présenter les collections homme et femme, dans une ambiance classique et glamour.

En redescendant par l’escalier, on apprécie les tableaux authentiques qui nous entourent et nous accompagnent jusqu’au rez de chaussée.

On traverse au plus vite la boutique des accessoires de mode – inabordables - pour trouver une table où déguster notre consommation d’après midi.

L’aménagement du patio intérieur est très réussi.

Les façades sculptées et les portes-fenêtres arrondies, proposent un écrin élégant à cette terrasse pavée, soigneusement agrémentée de plantes et d’arbustes.

Les chaises en fer forgé sont recouvertes de coussins moelleux. Avec l’emblématique tissu à rayures, signé Ralph Lauren. Aussi, on ne s’étonne pas que serveurs et serveuses arborent les mêmes rayures, du col au talon.

Le service, long et emprunté, n’est malheureusement pas à la hauteur du must ambiant. Mais la clientèle, majoritairement américaine, ne leur en tient pas rigueur. Trop heureux de se retrouver un peu chez eux.

 

Petitgrognon

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:14

Le-cafe-marly-.jpg

 

Plein la vue !

Tel est l’objectif du Café Marly au Louvre : nous en mettre plein la vue.

Non pas de la qualité du service… mais du panorama à admirer.

Installés en terrasse, sous la magnifique voûte de la galerie Richelieu, on a sous les yeux la Pyramide de Pei qui trône en plein milieu de la cour Napoléon. On ne se lasse pas du spectacle des innombrables visiteurs qui attendent de passer les sas de sécurité, sucent une glace ou prennent des poses de statues sur le rebord des bassins.

A l’intérieur, les salles au décor Napoléon III, méritent le coup d’œil. Quitte à séduire l’hôtesse d’accueil - lauréate du casting Costes -, on exigera une table donnant directement sur la cour Marly. Pour admirer, à quelques mètres en contrebas,  les statues monumentales qui jouent avec l’ombre et la lumière sous la gigantesque verrière.

Tout est là pour nous faire oublier qu’on aura attendu plus d’un quart d’heure pour qu’un serveur, débordé, prenne notre commande d’un café (3 euros) et, presque autant, pour qu’il nous l’apporte. Est-ce une consolation d’entendre, aux tables voisines, les mêmes remarques désastreuses sur le service ?

« Vous avez la vue ! », rétorque, impertinent, l’un des garçons.

Est-ce aussi pour la vue, que les chaises basses « Café Marly », créées par le designer Olivier Gagnere, ont été recouvertes de housses blanches qui sont, à l’usage, recouvertes …de taches ?

Peut-être un côté « grunchy » pour décourager les « gruncheux »…

 

Petitgrognon

 

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 08:37

cafe-odessa.JPG

 

Au carrefour du passé et du présent, la place Edgar Quinet illustre l’authentique charme parisien. 

Sa station de métro signalée par un candélabre Dervaux surmonté d‘une boule lumineuse, sa fontaine Wallace, son kiosque à journaux, des arbres et des terrasses de café. L’horloge publique, du haut de son mat, rappelle l’heure du rendez-vous, aux amants impatients.

Sur le terre-plein central du tranquille boulevard, un marché  ajoute ses couleurs et ses odeurs, deux fois par semaine.

Le reste du temps, s’y entremêle toute une foule bigarrée, qui débouche des rues adjacentes, où théâtres, cinémas, restaurants et crêperies bretonnes, l’attirent et la refoulent dans un ballet incessant.

Parisiens de souche ou d’un soir, gens d’ici ou d’ailleurs, y piétinent les traces d’une histoire qui s’efface doucement.

L’histoire d’un quartier, autrefois délimité par les « barrières » de Paris. Artistes et écrivains venaient s’encanailler auSphinx, célèbre « maison close » d’entre deux guerres. Les chauffeurs de taxi les emmenaient directement au n° 31, quand leurs passagers leur lançaient : « à Edgar Quinet ! »…

Aujourd’hui, les enseignes fluo de la rue de la Gaîté n’ont qu’à bien se tenir pour convaincre les passants. C’est que la Tour Montparnasse surveille le quartier…

Pour déguster notre café d’un jour, on a le choix entre les vastes terrasses du Café d’Odessa ou du Café de la Place. A l’ombre ou au soleil, côté pair ou impair.

Question de feeling ....et  prétexte à y revenir pour comparer.

 

Petitgrognon

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 12:49

LOIR-DANS-THEIERE.jpg

 

 

Bon, on vous prévient tout de suite, ici, ce n’est pas vraiment un café, mais un endroit  atypique du Marais.
Au début de la rue des Rosiers, une enseigne suspendue annonce Le Loir dans la Théière.

Un décor intérieur de bric et de broc. Des sièges de tous styles. On préfère les gros fauteuils club, en cuir égratigné, de la première salle. Des tables hétéroclites, des objets suspendus un peu partout, éclairés par des luminaires en tôle.

Sur les murs, des affiches fatiguées annoncent des spectacles ou des expos, d’il y a plusieurs années…

Endroit très couru, s’il en est, vous devrez peut-être faire la queue dehors avant qu’une table se libère, histoire d’admirer sa façade de boutique ancienne. Mais quel plaisir, ensuite, d’y savourer votre café.

Et comment ne pas succomber à l’une des pâtisseries maison, présentées, là, sous vos yeux, juste dans le passage avant la deuxième salle.

L’ambiance prolonge le plaisir de notre escapade dans le quartier.

La rue des Rosiers, au cœur de la tradition juive, avec ses restaurants et spécialistes du falafel, ses boutiques traditionnelles qui côtoient des magasins de luxe.

Le superbe Hôtel Carnavalet, de style Renaissance et rénové par Mansart. Son illustre locataire, Madame de Sévigné, y habita jusqu’à sa mort. On est accueilli dans la cour d’honneur par une des rares statues de Louis XIV, épargnée par les révolutionnaires. Avec l’Hôtel Saint Fargeau, son voisin, ils abritent le musée Carnavalet (où l’histoire de Paris est présentée comme une invitation au voyage dans le temps).

Un plaisir sans cesse renouvelé que de se promener, le nez en l’air, dans ce quartier où le vieux Paris côtoie, sans se froisser, le Paris contemporain le plus « trendy »…

 

Petitgrognon

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 08:24

CAFE-ARTCURIAL-.jpg

 

Descendre l’avenue Matignon : un vrai plaisir des yeux, sans débourser un centime.

Les œuvres d’art moderne et contemporain s’y succèdent, exposées dans les vitrines d’une douzaine de galeries.

Un petit détour chez Christie’s, la célèbre maison de ventes aux enchères, pour y contempler les œuvres proposées lors d’une future « vacation ». C’est l’occasion de visiter ce très bel hôtel particulier, qui était au début du XX è siècle, la maison de couture des sœurs Callot.

Un peu plus loin, avant d’arriver au Rond Point des Champs Elysées, se tient en plein air, le traditionnel marché aux timbres, le jeudi, samedi et dimanche. On en profite pour feuilleter les innombrables classeurs qui contiennent ces chefs d’œuvre de la philatélie et peut-être y dénicher l’affaire du siècle… !

Pour prolonger ce plaisir esthétique, où déguster notre café du jour ?

On fuit, comme il se doit, les terrasses « élyséennes » bondées et impersonnelles.

Au coin de l’avenue Montaigne, le Café Artcurial nous accueille à l’intérieur de l’Hôtel Marcel Dassault. Un espace au décor intérieur contemporain, entièrement dédié à l’art : expositions, salles de ventes, et une librairie de 18 000 références sur l’art du XXè siècle.  

La terrasse du Café ouvre sur le jardin. Quelques statues y sont exposées en plein air.

Une pause bien agréable, qui confirme ce que disait le peintre Pierre Bonnard : « l’œuvre d’art est un arrêt du temps. »

 

Petitgrognon

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